Photographe de funérailles
Respect des personnes
Esthétique des images
Patrimoine de la famille
Dans le respect des personnes, je crée des images esthétiques, piliers tout aussi importants de votre patrimoine familial.
Nous savons tous que ces circonstances sont douloureuses.
Mon empathie et mon regard extérieur m’aideront à
créer un témoignage fort du départ de l’être aimé.
Vos descendants vous seront reconnaissants pour ces photographies.
Prenez contact. C’est sans engagement.
Proposer des photographies de funérailles n’est pas commun.
Engager un photographe de funérailles l’est encore moins.
Alors pourquoi devrions-nous nous rencontrer ?
Pourquoi vous ?
Parce que vous savez que la famille n’est pas seulement une présence — c’est une trace. Une mémoire vivante, fragile et précieuse.
Aujourd’hui, la douleur est encore trop proche. Mais vous savez que l’hommage que vous rendez, dans sa pudeur comme dans sa force, portera plus loin que ce moment-là. Ce geste de reconnaissance silencieuse deviendra, avec le temps, un repère. Une façon de dire : voilà qui nous étions ensemble. Une manière de transmettre, aux plus jeunes, les valeurs qui vous unissent — même dans l’absence.
Les obsèques rassemblent. Ce n’est pas seulement un adieu, c’est un moment d’unité. Photographier cet instant, ce n’est pas figer le chagrin — c’est rendre visible le lien. C’est créer un point d’ancrage pour ne pas perdre le fil.
Quand l’être aimé nous quitte, notre esprit vacille. On regarde sans voir, on entend sans écouter, on parle sans être compris. Le corps est là, mais l’esprit est absent. Un album, ce sont des preuves douces, concrètes, qui nous aident à accueillir la réalité. À commencer, pas à pas, le travail de l’acceptation.
Et puis, il y a ceux qui n’ont pas pu venir. Une photographie digne, respectueuse, leur offre un lieu symbolique où se recueillir, même à distance.
Un jour, les arrière-petits-enfants regarderont ces photos sans douleur. Ils y découvriront une histoire. Une lignée. Une tendresse.
Parce que la mémoire mérite mieux que l’oubli.
Pourquoi moi ?
Trois deuils ont façonné ma vie. Un seul est lié à la mort.
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Le décès de mon père, j’avais 14 ans. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, et personne ne me l’a expliqué.
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Une rupture amoureuse qui m’a déchiré. Ce fut le début d’une transformation intérieure profonde, il y a plusieurs années. Grâce à cette épreuve, la vie m’a montré le chemin qui est le mien.
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Et puis, l’abandon de l’espoir de recevoir un jour de l’amour de ma mère — qui est pourtant toujours en vie.
Je connais ces douleurs qui s’étirent, sourdes, tenaces.
Mais je sais aussi qu’elles font grandir.
Vous savez ce qui est surprenant ? Dans ma période de vie la plus pénible, je voyais le BEAU !
Je sais trouver le beau dans des passages difficiles de la vie.
Aujourd’hui, je veux mettre cette capacité à votre service.